Gwenaëlle Grovonius

Avec mes collègues Thierry Witsel et Sabine Roberty, nous avons rencontré plusieurs travailleur.ses de la Maison de Justice de Namur-Dinant.

Les maisons de justice constituent un maillon essentiel du système des peines alternatives à la prison. Elles favorisent la réinsertion et par conséquent, diminuent les risques de récidives.

Elles assurent de nombreuses missions à destination des auteurs de délit et des victimes.  

Par exemple, le suivi des justiciables condamnés à une peine alternative, comme par exemple le placement de bracelets électroniques.   

Mais aussi, l’accueil, le soutien et l’information aux victimes durant la procédure judiciaire. 

Ce fut un plaisir de rencontrer ces assistantes de justice qui ont bien voulu partager un peu de leur quotidien avec nous. Comment ne pas être impressionnée par leur engagement et leur motivation alors qu’elles sont confrontées à de nombreuses difficultés qui complexifient la bonne marche de leur travail. Parmi lesquelles, un nombre insuffisant de candidatures pour répondre aux besoins de recrutement.   

Afin de relayer les préoccupations soulevées lors de nos échanges, j’ai interrogé la ministre Glatigny.  

Je profite également de l’occasion pour vous inviter à consulter régulièrement les offres d’emploi publiées sur le site des maisons de justice.