Les auteures indiquent qu’il s’agit d’un outil pour aider à sensibiliser les professionnels du droit dans leur interprétation du droit. Il sert aussi à conscientiser le monde politique. Ce Code permet, en outre, de mettre en évidence, de manière concrète, les lois qui ont un effet négatif sur les femmes. Par exemple, les dispositions en matière de pension qui valorisent les carrières complètes, alors que les femmes travaillent pour la plupart à temps partiel.
J’ai donc interrogé la Ministre Linard pour savoir si des législations ou dispositifs en vigueur en Fédération Wallonie- Bruxelles étaient spécifiquement visés par cette analyse. Le cas échéant quelles améliorations, précisions, voire modifications pourraient être apportées ?
Retrouvez l’intégralité de nos échanges ici (pp. 7-8).